Alors que la Coupe du Monde de Rugby 2023 débute dans une semaine à peine, l’ancien demi d’ouverture de l’équipe de France, Frédéric Michalak, partage ses précieux conseils pour aider Les Bleus à remporter le tournoi. Une petite revanche, sans doute, sur la performance décevante du XV de France lors de la dernière édition en France, en 2007, à laquelle Michalak avait participé.
Pour Michalak, les joueurs doivent surtout profiter du moment présent
Michalak, qui est désormais un membre du staff du Racing Metro 92, partage également son enthousiasme pour le rugby au sein du public français. Pour lui, surtout, le plaisir du jeu doit perdurer, malgré la pression :
« Ils savent exactement comment placer les joueurs dans les meilleures conditions possibles. L’important est de profiter d’être là et de ne pas s’isoler psychologiquement de l’événement. J’ai toute confiance en l’équipe de France qui figure parmi les favoris aux côtés de l’Afrique du Sud et de la Nouvelle-Zélande. »
2007 : une élimination cruelle en demi-finale
Lors de la Coupe du Monde 2007, dirigée par Bernard Laporte, la France avait connu des hauts… et pas mal de bas. Ils avaient perdu leur match d’ouverture contre l’Argentine, réussissant l’exploit d’éliminer les All Blacks en quarts de finale (20 à 18) avant de s’incliner face à l’Angleterre en demi-finale.
Alors que l’équipe française actuelle, sous la direction de Fabien Galthié, se prépare pour le tournoi à venir, les attentes sont plus élevées que jamais. Le coup d’envoi sera donné le 8 septembre à Paris, avec un affrontement contre les All Blacks.
Fred Michalak espère enfin que la Coupe du Monde 2023 à Paris contribuera à accroître la popularité du rugby à l’échelle mondiale, à l’instar du succès de rugby à sept en tant que sport olympique. Il souligne que pour que le sport continue de croître, il doit conquérir de nouveaux territoires.
Basketteur de moins d’1m80, je prends la plume pour parler basket, cyclisme ou football. Je ne crie pas « Go Spurs Go » mais je suis Wemby de près. Et tant pis pour mes Trail Blazers qui végètent à l’Ouest…