Le Paris Saint-Germain annonce la couleur ! Pour toute équipe désirant recruter Kylian Mbappé cet été, l’offre attendue doit atteindre un certain montant. Les dirigeants qataris ont ainsi choisi de mettre en avant cette position en réponse au risque croissant de le perdre gratuitement l’année prochaine.
Le Real Madrid va-t-il sortir du silence ?
Alors que les jours passent et que la fenêtre de transfert se rétrécit, le Real Madrid n’a pas encore présenté d’offre pour Kylian Mbappé. Paris Saint-Germain, de son côté, conserve une confiance solide dans sa capacité à conserver le prodige du football. Le représentant de Mbappé est au courant que le Qatar a évalué le prix du joueur à 250 millions d’euros.
Cependant, les représentants qataris présents à Paris la semaine dernière attendent toujours une offre de la part du Real Madrid. Si Madrid ou toute autre équipe propose le montant requis avant la clôture du mercato estival, le capitaine de l’équipe de France quittera son club de la Ligue 1.
Prolonger ou vendre, le refrain est désormais bien connu
Au fil des années, le Qatar a voulu réaffirmer sa force dans les négociations, et cette qualité se reflète désormais dans les discussions autour de Kylian Mbappé. Malgré l’absence d’accord sur sa prolongation de contrat, le PSG dispose d’une saison entière pour tenter de faire changer d’avis à Mbappé, qui a jusqu’à présent refusé de prolonger son contrat jusqu’en 2025. L’objectif majeur est de le garder cette saison et de rouvrir ensuite les négociations en vue de la signature d’une prolongation de contrat.
Après la première rencontre qui s’est tenue à Paris dimanche dernier, le Qatar et l’entourage de Mbappé se retrouveront à nouveau cette semaine dans la capitale française. La réunion pourrait compter la présence de Nasser Al Khelaïfi, président du PSG. Les discussions entre Mbappé et le club se poursuivent, et les responsables du PSG restent optimistes quant à leur capacité à le retenir.
Basketteur de moins d’1m80, je prends la plume pour parler basket, cyclisme ou football. Je ne crie pas « Go Spurs Go » mais je suis Wemby de près. Et tant pis pour mes Trail Blazers qui végètent à l’Ouest…